Départ de Siwa
Dimanche. Neuf heures, c’est trop tôt pour le petit déjeuner. Nous quittons l’hôtel un jour plus tôt. Le propriétaire n’est pas fâché, il nous fait même cadeau d’une livre pour éviter de faire de la monnaie. En revenant de la banque, qui possède un distributeur de billets, Dominique croit reconnaître un conducteur de caretta. C’est Khaled et son âne Michaud. Nous prenons un jus de fruit chez Abdou et comme nous ne serons que deux dans la voiture nous l’invitons à se joindre à nous, il n’a jamais dormi dans le désert. S’il obtient l’autorisation paternelle, il se joindra à nous. Senossi n’est pas revenu du Caire, c’est son frère Saied qui le remplacera bon…
Le père de Khaled refuse qu’il prenne des vacances. Il ne partira que si c’est pour le travail. Nous le prenons donc comme aide cuisinier avec le salaire que son travail de caretiste lui aurait rapporté ! Nous passons le temps chez Abdou, bien conscients que les rendez-vous égyptiens dépassent allégrement le quart d’heure savoyard. Enfin, voilà Saied. Il nous conduit au point de chargement d’un quatre-quatre, plus ancien que le sien, mais qu’il nous assure confortable. Le chargement effectué, il nous dit qu’il nous retrouvera demain matin, dans le désert avec les autorisations nécessaires. Soliman nous conduira dans le désert pour notre première nuit, il lui laisse son téléphone satellite. Nous allons acheter du bois pour le feu, dans une sorte de scierie primitive sans scies, où les palmiers sont équarris et les souches fendues avec des coins. Nous chargeons sur le toit de la voiture des éclats de souches qui serviront à cuisiner. Nous partons enfin pour le désert. Premier check point que l’on ne franchi qu’après un long palabre au téléphone satellite. Enfin nous quittons la route pour monter sur le sommet d’une dune de sable. Très beau coin pour le bivouac encore proche de Siwa, tant pour le départ tardif que pour les autorisations à venir. Nous reconnaissons la montagne blanche qui domine Fatnas.
Promenade dans les dunes pendant que Soliman prépare le repas : riz aux oignons et salade tomates concombre. Saied a oublié d’acheter la viande. Après les quatre verres de thé rituels, thé sucré puis thé à la menthe, nous déplions nos duvets tout neufs. Grâce à eux, malgré les cinq petits degrés très ventés de la nuit, la tête tantôt dans les étoiles, le bonnet sur la tête, tantôt dans le sac où il fait meilleur, nous passons une bonne nuit.
Le père de Khaled refuse qu’il prenne des vacances. Il ne partira que si c’est pour le travail. Nous le prenons donc comme aide cuisinier avec le salaire que son travail de caretiste lui aurait rapporté ! Nous passons le temps chez Abdou, bien conscients que les rendez-vous égyptiens dépassent allégrement le quart d’heure savoyard. Enfin, voilà Saied. Il nous conduit au point de chargement d’un quatre-quatre, plus ancien que le sien, mais qu’il nous assure confortable. Le chargement effectué, il nous dit qu’il nous retrouvera demain matin, dans le désert avec les autorisations nécessaires. Soliman nous conduira dans le désert pour notre première nuit, il lui laisse son téléphone satellite. Nous allons acheter du bois pour le feu, dans une sorte de scierie primitive sans scies, où les palmiers sont équarris et les souches fendues avec des coins. Nous chargeons sur le toit de la voiture des éclats de souches qui serviront à cuisiner. Nous partons enfin pour le désert. Premier check point que l’on ne franchi qu’après un long palabre au téléphone satellite. Enfin nous quittons la route pour monter sur le sommet d’une dune de sable. Très beau coin pour le bivouac encore proche de Siwa, tant pour le départ tardif que pour les autorisations à venir. Nous reconnaissons la montagne blanche qui domine Fatnas.
Promenade dans les dunes pendant que Soliman prépare le repas : riz aux oignons et salade tomates concombre. Saied a oublié d’acheter la viande. Après les quatre verres de thé rituels, thé sucré puis thé à la menthe, nous déplions nos duvets tout neufs. Grâce à eux, malgré les cinq petits degrés très ventés de la nuit, la tête tantôt dans les étoiles, le bonnet sur la tête, tantôt dans le sac où il fait meilleur, nous passons une bonne nuit.
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