Siwa
Siwa, un groupe de carettistes nous attend à l’arrivée du car. « Wich hôtel ? » Le plus habile nous dit ce n’est pas une question d’argent je vous conduit à votre hôtel gratuitement, nous verrons demain pour la visite… Nous avons envie de marcher après tant d’heures passées assis. En même temps, nous aurions bien employé un de ces nouveaux entrepreneurs. Nous avons le plaisir de reconnaître les lieux. Accueil sympathique à l’hôtel, visite préalable de la chambre on a beau s’y attendre, c’est surprenant, mais bon ! 31LE la nuit… Nous avions emporté la machine anti-moustiques. Dommage que nous ne l’ayons pas branchée. Il est difficile d’imaginer que les moustiques sont actifs même à 15°C. Visite chez Abdou, les jus de fruits Oranges, bananes sont toujours aussi bons 5 LE pour un jus fraîchement pressé, ce n’est pas le moment de s’en privé. Le poulet au curry est un peu fort mais c’est censé réchauffer le corps, Dominique goûtera le couscous aux pommes de terre. Siwa est parait-il le seul endroit où l’on peut en manger. Les premiers habitants ont rapporté cela de leur pays d’origine.
Le soir, nous cherchons un guide pour traverser vers Bahariya. Première déception, on nous annonce que la route seule est autorisée, qu’il n’y a pas d’endroit possible pour dormir dans le désert, qu’il faut dépasser Bahariya pour aller dormir dans le désert blanc. Ce propos nous est tenu à plusieurs endroits nous finissons par le croire. J’imagine assez la route, même non goudronnée, avec sept points de contrôle. Ce n’est pas l’idée que nous nous faisions du désert. Le voyage de Marsa Matrouh à Siwa nous avait donné une assez bonne idée de ce genre de randonnée. Nous avons même trouvé un guide Siwi parlant très bien le français, appris grâce à une franco-égyptienne qui a une maison à Siwa.
Une visite à l’internet-café nous permet de rencontrer Fathi, l’ethnologue siwi. Nous lui rapportons quelques photos qui le surprennent : Ce magasin est fermé depuis longtemps. Seulement deux ans… Puis, après la relève des courriels, nous parlons de son frère Senossi qui conduit les touristes dans le désert. Il nous parle de la famille comme à de vieux amis. Senossi devait se marier ces jours-ci mais un deuil dans la famille l’a contraint à reporter d’un mois la cérémonie. Il nous parle des projets de randonnée dans le désert. Des clients ont réservé pour huit jours. Les cinq jours qu’ils ont fait l’année précédente leur ont semblé trop courts. Ce sera avant l’éclipse car il ne savait pas encore qu’il y aurait une éclipse quand ils ont arrêté les dates. Enfin, il me dit que moyennant finance on peut obtenir l’autorisation de voyager dans le désert à Siwa, sans attendre l’autorisation du Caire. Nous sautons sur l’occasion malgré le prix exorbitant. Au lieu de rester un jour à Siwa, nous partirons dés le lendemain à 14 heures. Senossi doit ramener une voiture du Caire et sera là vers midi. Le matin, nous apporterons nos passeports pour les autorisations. Les provisions seront préparées.
Le soir, nous cherchons un guide pour traverser vers Bahariya. Première déception, on nous annonce que la route seule est autorisée, qu’il n’y a pas d’endroit possible pour dormir dans le désert, qu’il faut dépasser Bahariya pour aller dormir dans le désert blanc. Ce propos nous est tenu à plusieurs endroits nous finissons par le croire. J’imagine assez la route, même non goudronnée, avec sept points de contrôle. Ce n’est pas l’idée que nous nous faisions du désert. Le voyage de Marsa Matrouh à Siwa nous avait donné une assez bonne idée de ce genre de randonnée. Nous avons même trouvé un guide Siwi parlant très bien le français, appris grâce à une franco-égyptienne qui a une maison à Siwa.
Une visite à l’internet-café nous permet de rencontrer Fathi, l’ethnologue siwi. Nous lui rapportons quelques photos qui le surprennent : Ce magasin est fermé depuis longtemps. Seulement deux ans… Puis, après la relève des courriels, nous parlons de son frère Senossi qui conduit les touristes dans le désert. Il nous parle de la famille comme à de vieux amis. Senossi devait se marier ces jours-ci mais un deuil dans la famille l’a contraint à reporter d’un mois la cérémonie. Il nous parle des projets de randonnée dans le désert. Des clients ont réservé pour huit jours. Les cinq jours qu’ils ont fait l’année précédente leur ont semblé trop courts. Ce sera avant l’éclipse car il ne savait pas encore qu’il y aurait une éclipse quand ils ont arrêté les dates. Enfin, il me dit que moyennant finance on peut obtenir l’autorisation de voyager dans le désert à Siwa, sans attendre l’autorisation du Caire. Nous sautons sur l’occasion malgré le prix exorbitant. Au lieu de rester un jour à Siwa, nous partirons dés le lendemain à 14 heures. Senossi doit ramener une voiture du Caire et sera là vers midi. Le matin, nous apporterons nos passeports pour les autorisations. Les provisions seront préparées.
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