Siwa Bahariya 2006

Voyage février 2006 Le Caire Alexandrie Siwa et retour

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Location: Albens, Savoie, France

Monday, February 27, 2006

La route de Bahariya

Lundi. 7 heures. Le soleil s’est levé timidement, nous restons encore dans les sacs de couchage. Je ne crois pas au rendez-vous à huit heures de Saied. J’ai repéré un monticule rocheux un peu loin. Il est difficile de se rendre compte de la distance exacte. Je pense avoir le temps de m’y rendre. Grimper sur tout ce qui dépasse, une manie bien ancrée. Le sable est encore froid, je garde les chaussures. Il m’avait semblé plus facile de marcher pieds nus. Marcher dans le sable, donne l’impression de parcourir un tapis roulant à l’envers. Le relief se confond comme parfois dans la neige, on ne sait si l’on monte ou descend. Je cherche le sable le plus ferme, essayant de lire la dune comme une pente de neige encore que le risque d’avalanche soit au plus bas. Je croise deux traces de renard. Le rocher d’une dizaine de mètres offre un point de vue sur le désert. J’aperçois un quatre-quatre roulant vers notre campement. Il est temps de rentrer. Auprès du feu, Saied est là accompagné d’un militaire Mohamed. Saied dit qu’un de ses garçons est malade, il reste pour pouvoir l’emmener à l‘hôpital si son état s’aggrave. Chez nous cela s’appelle la sous-traitance… Mohamed passera la journée avec nous, c’est la seule façon de pouvoir s’éloigner de la route pour visiter les oasis désertés, les tombes de l’époque romaine.
Petit déjeuner composé de thé pain plat, confiture de figues (Vitrac) et fromage blanc salé. Saied s’en va emportant son téléphone cellulaire et la possibilité d’échapper aux contrôles militaires. Dur de se faire rouler… Mohamed est un gradé, bien qu’appelé, il est salué comme tel au check point. De pauvres soldats restent trois jours durant auprès d’une barrière faite de bidon pour noter le numéro des véhicules et l’autorisation des conducteurs. Mohamed a droit à dix jours de permission tous les dix jours pour retrouver sa famille au Caire. Le long de la route nous refaisons le plein d’eau. L’eau jaillit sous pression et chaude, nous en profitons pour faire une toilette succincte.
Nous quittons un moment la route, pour visiter une oasis désertée. Il reste quelques palmiers, mais l’eau, chargée de sel, est devenue impropre aux cultures. Il y a une colline faite de coquillages usés, ronds et plats. Ils ressemblent à des pièces de monnaie. Nous sommes riches. Nous nous proposons d’acheter le désert. Autre attraction, les tombes, datant de l’époque romaine, creusées à la base des falaises de calcaire blanc, sur plusieurs étages. Elles ont été ouvertes par l’érosion ou des chercheurs de trésors. Comme celles de la montagne des morts de Siwa, elles contiennent des restes de momies et de nombreux ossements. Des traces de serpents incitent à la prudence. Peu de dessins ont résisté au soleil. C’est un endroit maudit : tous les gens qui vivaient là sont morts ! Une autre oasis plus grande, mais également désertée offre à son tour son lot de tombes et un étang d’eau salée, bordée de roseaux. De gros monticules stratifiés ressemblent à des méduses. Nous avons parfois l’impression de marcher sur un fond marin. Nous faisons une pause déjeuner. Quelques morceaux de palmier sont enflammés avec un peu d’essence. La théière émaillée entre aussi tôt en service. Mohamed, resté simple en dépits de ses galons, prépare la salade, tomates, concombres, oignons et, le plus délicat, des boites de thon ouvertes au couteau avec une dextérité qui trahit un entraînement intensif. Un groupe de tout-terrains passent non loin. Soliman, plutôt paisible, va s’animer un peu pour les dépasser, avec le plaisir de ne pas s’en laisser compter par des petits jeunes… La nuit tombe. Le septième contrôle est l’occasion de la prière pour Soliman. Nous arrivons de nuit à Bahariya. Nous n’en découvrons qu’une rue faiblement éclairée. Nous déposons notre escorte à la caserne locale, il repartira demain avec une autre voiture. Soliman a un ami qu’il veut saluer. Il s’enfonce dans un dédale de maisons basses en pisé. Nous l’attendons un moment dans la voiture. Ahmed nous invite à prendre le thé chez lui. Une salle de réception couverte de tapis, au mur une photo de Médine et une d’un safari à dos de chameau où il est le guide. Un enfant a apporté le thé, Soliman et Ahmed échangent des nouvelles, puis nous repartons pour trouver un campement. Ahmed a un garçon qui semble simplet. Il nous regarde, perplexe. Je demande en arabe à Ahmed son âge pour lui montrer que je parle arabe. Il éclate de rire en s’écriant « oh la la » en arabe, et coquet, il n’a pas répondu. La nuit suivante, dans le désert blanc, Soliman nous posera la question, ce qui sera un grand moment pour un cours sur les chiffres en arabe et leur conversion en nos chiffres français. Tout cela écrit dans le sable fin comme de la maïzena, aussitôt effacé lorsque nous faisons une erreur.
Soliman nous conduit à la seule dune de Bahariya. Un feu de palmier est allumé à l’essence. Comme d’habitude la théière entre en service. A la lumière de notre frontale, nous coupons quelques légumes, carottes pomme de terre, non épluchées, tomates, oignons. Soliman ajoute des morceaux de poulet qu’il vient d’acheter à l’alimentation locale pour corser le ragoût, qu’un volumineux plat de riz accompagnera. Nous sortons nos duvets pour une deuxième nuit sous les étoiles. Les chaussures soigneusement rangées à l’intérieur du sac de couchage, comme les vêtements d’ailleurs, pour ne pas tenter les fennecs.

Thursday, February 23, 2006

Départ de Siwa

Dimanche. Neuf heures, c’est trop tôt pour le petit déjeuner. Nous quittons l’hôtel un jour plus tôt. Le propriétaire n’est pas fâché, il nous fait même cadeau d’une livre pour éviter de faire de la monnaie. En revenant de la banque, qui possède un distributeur de billets, Dominique croit reconnaître un conducteur de caretta. C’est Khaled et son âne Michaud. Nous prenons un jus de fruit chez Abdou et comme nous ne serons que deux dans la voiture nous l’invitons à se joindre à nous, il n’a jamais dormi dans le désert. S’il obtient l’autorisation paternelle, il se joindra à nous. Senossi n’est pas revenu du Caire, c’est son frère Saied qui le remplacera bon…
Le père de Khaled refuse qu’il prenne des vacances. Il ne partira que si c’est pour le travail. Nous le prenons donc comme aide cuisinier avec le salaire que son travail de caretiste lui aurait rapporté ! Nous passons le temps chez Abdou, bien conscients que les rendez-vous égyptiens dépassent allégrement le quart d’heure savoyard. Enfin, voilà Saied. Il nous conduit au point de chargement d’un quatre-quatre, plus ancien que le sien, mais qu’il nous assure confortable. Le chargement effectué, il nous dit qu’il nous retrouvera demain matin, dans le désert avec les autorisations nécessaires. Soliman nous conduira dans le désert pour notre première nuit, il lui laisse son téléphone satellite. Nous allons acheter du bois pour le feu, dans une sorte de scierie primitive sans scies, où les palmiers sont équarris et les souches fendues avec des coins. Nous chargeons sur le toit de la voiture des éclats de souches qui serviront à cuisiner. Nous partons enfin pour le désert. Premier check point que l’on ne franchi qu’après un long palabre au téléphone satellite. Enfin nous quittons la route pour monter sur le sommet d’une dune de sable. Très beau coin pour le bivouac encore proche de Siwa, tant pour le départ tardif que pour les autorisations à venir. Nous reconnaissons la montagne blanche qui domine Fatnas.
Promenade dans les dunes pendant que Soliman prépare le repas : riz aux oignons et salade tomates concombre. Saied a oublié d’acheter la viande. Après les quatre verres de thé rituels, thé sucré puis thé à la menthe, nous déplions nos duvets tout neufs. Grâce à eux, malgré les cinq petits degrés très ventés de la nuit, la tête tantôt dans les étoiles, le bonnet sur la tête, tantôt dans le sac où il fait meilleur, nous passons une bonne nuit.

Siwa

Siwa, un groupe de carettistes nous attend à l’arrivée du car. « Wich hôtel ? » Le plus habile nous dit ce n’est pas une question d’argent je vous conduit à votre hôtel gratuitement, nous verrons demain pour la visite… Nous avons envie de marcher après tant d’heures passées assis. En même temps, nous aurions bien employé un de ces nouveaux entrepreneurs. Nous avons le plaisir de reconnaître les lieux. Accueil sympathique à l’hôtel, visite préalable de la chambre on a beau s’y attendre, c’est surprenant, mais bon ! 31LE la nuit… Nous avions emporté la machine anti-moustiques. Dommage que nous ne l’ayons pas branchée. Il est difficile d’imaginer que les moustiques sont actifs même à 15°C. Visite chez Abdou, les jus de fruits Oranges, bananes sont toujours aussi bons 5 LE pour un jus fraîchement pressé, ce n’est pas le moment de s’en privé. Le poulet au curry est un peu fort mais c’est censé réchauffer le corps, Dominique goûtera le couscous aux pommes de terre. Siwa est parait-il le seul endroit où l’on peut en manger. Les premiers habitants ont rapporté cela de leur pays d’origine.
Le soir, nous cherchons un guide pour traverser vers Bahariya. Première déception, on nous annonce que la route seule est autorisée, qu’il n’y a pas d’endroit possible pour dormir dans le désert, qu’il faut dépasser Bahariya pour aller dormir dans le désert blanc. Ce propos nous est tenu à plusieurs endroits nous finissons par le croire. J’imagine assez la route, même non goudronnée, avec sept points de contrôle. Ce n’est pas l’idée que nous nous faisions du désert. Le voyage de Marsa Matrouh à Siwa nous avait donné une assez bonne idée de ce genre de randonnée. Nous avons même trouvé un guide Siwi parlant très bien le français, appris grâce à une franco-égyptienne qui a une maison à Siwa.
Une visite à l’internet-café nous permet de rencontrer Fathi, l’ethnologue siwi. Nous lui rapportons quelques photos qui le surprennent : Ce magasin est fermé depuis longtemps. Seulement deux ans… Puis, après la relève des courriels, nous parlons de son frère Senossi qui conduit les touristes dans le désert. Il nous parle de la famille comme à de vieux amis. Senossi devait se marier ces jours-ci mais un deuil dans la famille l’a contraint à reporter d’un mois la cérémonie. Il nous parle des projets de randonnée dans le désert. Des clients ont réservé pour huit jours. Les cinq jours qu’ils ont fait l’année précédente leur ont semblé trop courts. Ce sera avant l’éclipse car il ne savait pas encore qu’il y aurait une éclipse quand ils ont arrêté les dates. Enfin, il me dit que moyennant finance on peut obtenir l’autorisation de voyager dans le désert à Siwa, sans attendre l’autorisation du Caire. Nous sautons sur l’occasion malgré le prix exorbitant. Au lieu de rester un jour à Siwa, nous partirons dés le lendemain à 14 heures. Senossi doit ramener une voiture du Caire et sera là vers midi. Le matin, nous apporterons nos passeports pour les autorisations. Les provisions seront préparées.

Saturday, February 18, 2006

Le Caire Siwa

A six heures, Yasser nous conduit à la gare des bus. Nous admirons les poulaillers sur les terrasses des immeubles. La route passe au pied des pyramides, les voici sous un angle et un éclairage différent. Le trajet est très monotone, de tous cotés le désert, mais pas un joli désert de dune, une étendue plate, comme un immense terrain vague ou un chantier de terrassement. En dehors de la longueur du trajet très monotone, il faut subir la climatisation qui fonctionne même en hiver, les variétés à la télévision et surtout réussir à aborder les toilettes ! Dans le premier bus le guide nous demande thé ou café, à notre interrogation il répond que le service est compris dans le bus, il réitère avec coke ou jus de fruit et nous nous forçons à boire un nectar de pêches écoeurant. Nous avons été servi en premier et n’avons pu calquer notre conduite sur les autres passagers. Si tout le monde a pris le thé très peu on pris la seconde boisson. Bien entendu, il faut payer tout ça et le prix annoncé reviendrait à doubler le prix du transport. Nous nous en tirons en rendant les paquets de biscuits ajoutés à chaque boisson pour faire bon poids et que nous n’avons pas touché. Il peut ainsi sauver la face en nous proposant un nouveaux prix encore trop élevé. Un thé coûte 2.5 LE à l’hôtel 7 LE dans le bus, il ajoute tranquillement 10 LE pour le service. Je lui dis que nous en discuterons à l’arrivée, il accepte ma proposition de 30 LE. J’ai par erreur laissé 20 LE de pourboire lors du rangement des valises. C’est peu être ce qui l’a incité à la gourmandise.

Genève Le Caire

Vendredi : 4 :30, nous réveillons notre chauffeur par téléphone, nous avions prévu une marge.
Aéroport de Cointrin, 6H, l’aventure commence ! Milan est bloqué par le givre et le vent. Nous sommes détournés avant d’être embarqué.
Vous parlez français ?
Oui c’est ma langue unique préférée.
Rome ? Ah non, il n’y a qu’une place. Paris ? Vous avez quel passeport ?
Français.
Ah oui ça va , Arrivée Le Caire 19H.
Hum, un peu juste pour prendre les billets du bus pour Siwa.
Je vais chercher autre chose….Vienne, ça vous dit ?
Oui c’est très beau l’Autriche, mais pour Le Caire ?
Arrivée à 15H.
Bien ! C’est plus tôt que notre précédent vol. C’est nous qui allons attendre Yasser, notre chauffeur de taxi. Mais départ 7 :35 Va-t-on pouvoir enregistrer les bagages ?
Non si vous faites la queue là –bas… Attendez, je vais vous arranger ça.
Allo, c’est Paul du guichet d’en face. Tu peux m’enregistrer deux valises, c’est le vol de Milan…
Voilà c’est arrangé vous n’aurez pas à faire la queue, allez juste en face !
C’est notre jour de chance. Un employé qui prend son travail à cœur, en plus nous n’avons même pas à peser le bagage de cabine qui nous aurait fait dépasser le poids autorisé en franchise.
Contrôle des passeports accéléré, trois tapis roulants plus loin, nous arrivons au contrôle des bagages. Des enfants vident leurs poches. Tu peux garder les pièces de monnaie, mais le jeu électronique passe dans l’appareil… Pour une fois, je ne fais pas sonner l’appareil, vive les étuis en plastique. Porte B27 enfin ! Oui c’est tout bon, mais faut attendre un peu. Tant mieux ! Arriver avec deux heures d’avance sur le départ de l’avion et devoir se presser pour ne pas le rater, ce n’est pas juste.
Bon, nous voila dans l’avion Tyroliian airline, surprise c’est un bimoteur à hélices. Si, ça existe encore et non ce n’était pas une caravelle. Comme c’est un vol économique, nous ne verrons les croissants réservés aux premières classes, mais nous n’en dégusterons que l’odeur. C’est ennuyeux cela me donne faim. L’avion n’est pas présurisé, nous pouvons suivre sa progression sur l’altimètre 2400m environ. Les turbulences, qui nous permettent de participer physiquement au vol, ne doivent pas inciter le pilote à prendre de l’altitude. Après une lecture assidue du problème « public privé » de l’école, dans la tribune de Genève, Nous arrivons sur Vienne 233m. Une demi heure pour le transfert. Heureusement tout se passe bien.
Arrivée au Caire par beau temps nous avons droit à une visite des pyramides. L’avion tourne autour par la droite, de notre coté, survole le Nil avant l’atterrissage. Dans l’avion, nous avons rempli ne fiche d’identité pour le contrôle. Au milieu de la file, nous nous rendons compte qu’il fut acheter les timbres de visa avant le contrôle. Il s’achète dans des boutiques de change, au choix quinze euros ou quinze dollars. Vingt pour cent de profit si vous n’avez pas pensé à avoir des dollars ! Un coup de téléphone portable nous permet de situer Yasser, notre chauffeur de Taxi qui nous attendait depuis 13 heures, inquiet de l’annulation du vol de Milan. Acheter des livres égyptiennes au distributeur, des timbres à un vendeur, la poste est fermée le vendredi, Prendre les billets de car pour Marsa Matrouh et enfin poser les valises à l’hôtel. Nous prenons contact avec la circulation incroyable du Caire. Les conducteurs roulent au klaxonne et comptent bien que les autres devineront leurs intentions. Couper trois files de voitures, pour faire demi-tour, n’attire même pas l’attention. Nous prenons un thé au bord du Nil, dégustons la soupe de lentille avant d’aller dans la rue Maarouf, la rue des garagistes, où Yasser a son quartier général, diner d’un khosheri.

Thursday, February 16, 2006

A nous le désert

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Un jardin à Bihr-wahed

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Végétation désertique

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Perdu dans les sables

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Oasis de Bir-wahed

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Djebel Dakrour

L'un des trois sommets de Siwa. Le sable de cette colline aurait des vertus thérapeutiqes. Les malades viennent s'y enfouir jusqu'au cou pour se soigner. A la pleine lune d'octobre, tous les hommes de Siwa passent trois jours et trois nuits . Ils laissent leurs maisons et leurs femmes pour célébrer la «fête de la paix». On discute jusqu'à ce que tous les conflits de l'oasis soient réglés. Des alliances sont prises, des affaires conclues. Dans la journée, les familles se joignent à la fête. La nuit, les chants soufis étourdissent les âmes.
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Maisons proche de Fatnas

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Sur la route de Fatnas

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Le palmier le plus célèbre de Siwa

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L'ile de Fatnas

L'île n'en est plus tout à fait une depuis qu'un barrage a asséché la moitié du lac salé.
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La montagne blanche

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Coucher de soleil à l'ile de Fatnas

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Ile de Fatnas

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L'oracle d'Amon fut en fonction du sixième siècle avant Jesus-Christ et continua avec plus ou moins de succès jusqu'au sixième siècle après. Il était aussi célèbre que celui de Delphes. Ce petit temple perdu au milieu du désert, fut un des plus grands sites sacrés du monde antique.Pourquoi à Siwa ? L'eau se dit "Aman" en Siwi. Les Egyptiens ont peut-être rapproché cette eau mystérieuse "Aman" venant on ne sait d'où, de leur dieu Amon "le caché". Dieu qui posséde un caractère aquatique.
Il existe une pièce au-dessus du sanctuaire, sans accès. Sur un vase de Bari, on voit Zeus assis sur un toit, une échelle est appliquée contre le mur et un homme y monte. On peut donc imaginer que les réponses données aux fidèles étaient prononcées par un prêtre caché dans cette pièce.
(référence Alain Blottière) Posted by Picasa

Le temple de l'oracle d'Amon à Aghurmi

Le temple a été construit du temps d'Amasis (26ème dynastie). La population de Siwa d'origine berbère avaient très probablement un dieu bélier qui fut fusionné avec l'Amon bélier. Posted by Picasa

Les murs tiennent grâce à la sécheresse de l'air

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Le temple de l'oracle d'Amon

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Ce qui reste du temple d'Amon

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Au milieu des palmiers

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Temple de l'oracle d'Amon

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La forteresse de Shali

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Shali, forteresse du XII° siècle

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Maison restaurée dans Shali

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Rue de Shali

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Vue de Djebel Mota

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